Voyage de luxe, à Marrakech, au Buddha Bar
Mai. 2016 \\ Par Jérôme Lamy

le buddha bar marrakech a un an. quelle belle occasion de redécouvrir un endroit exclusif toujours aussi unique dans la décoration et dans l’assiette. et qui propose une ambiance plus clubbing avec notamment le Buddha Show, revue féerique de cinq merveilleuses danseuses anglaises.

 

Buddha a enfin trouvé le gardien de son temple. A Marrakech, depuis que Mohamed Kaffazy, son nouveau Directeur Général, veille sur son héritage mondial et sa renommée planétaire, il peut dormir sur ses deux oreilles.

Enfin, cela sera difficile de dormir vraiment. Car, depuis la fin des vacances d’été, les décideurs du Buddha Bar Marrakech ont décidé de donner plus de vie, plus d’ambiance, plus de folie, plus de signature Marrakech à un lieu qui, depuis son inauguration il y a un an, a déjà fait l’unanimité, pour sa restauration haut de gamme, servant par exemple, incontestablement, les meilleurs sushis du Maroc.

Né en 1996  de  l’imagination  visionnaire  de  son  fondateur  Raymond  Visan, en  perpétuelle  recherche  de  nouveautés  à  travers  ses nombreux voyages notamment en Californie, le Buddha Bar est rapidement devenu un phare incontournable dans la nuit de Marrakech pour la réputation exclusive d’un lieu unique et pour son emplacement géographique exceptionnel à côté de l’Hôtel Savoy et du Ménara Mall, garantissant un accès parking permanent.

Le Buddha Bar est plus qu’un restaurant lounge. C’est un art de vivre. C’est une énergie positive. C’est un mode de vie. C’est surtout une mode qui ne se démode pas. «C’est la fusion entre l’Orient et l’Occident dans la décoration et dans l’assiette» précise Mohamed Kaffazy. «Qui dit fusion dit aussi esprit de partage, c’est pourquoi nous avons osé un espace qui ressemble à une table d’hôtes près du bar où l’on peut échanger au fil de la soirée.»

Bachelier au Lycée Descartes, à Rabat, diplômé chez Vatel, à Nîmes, Mohamed Kaffazy est passé dans les plus grandes maisons, à l’instar de Plaza Athénée, à?Paris, l’Hôtel Le Montana, à Courchevel ou l’Hôtel de la Montagne, à Montréal. «N’oubliez pas le Comptoir Darna où j’ai eu la chance d’œuvrer lors de mon retour au Maroc et de collaborer avec Marcel Chiche qui est une star mondiale de la restauration» précise Mohamed qui n’oublie pas non plus le Lotus Club Marrakech qu’il dirigeait avant de prendre les commandes du Buddha Bar.

Mohamed n’est pas venu les mains vides. Il est arrivé dans la maison de Buddha avec Dalilla Minel, véritable spécialiste du marketing et de la communication. «Le Buddha Bar, ce sont des standards, un process, une culture, un concept qu’on doit juste réajuster à la sauce orientale» précise Mohamed qui loue le talent de Ashish Purty, chef cuisinier exécutif du Buddha Bar, qui a notamment fait l’ouverture des Buddha Bar Dubaï et New Delhi sans oublier l’incroyable chef sushi Shigahi.

Surtout, c’est l’expérience client que Mohamed Kaffazy veut porter aux nues. «Les gens doivent passer un moment unique parmi nous» confie-t-il. «Nous devons être intransigeants sur le sens du détail et le service pour présenter de la meilleure manière nos plats signatures et nos produits nobles comme le  Bœuf  “Wagyu”  ou le Black Cod, délicieux poisson des eaux froides de l’Alaska que nous pouvons situer entre le cabillaud et la morue noire.» Incomparables sont aussi les brochettes japonaises.

Entre le fameux Bœuf  “Wagyu” et le fameux Black Cod, il ne faut pas rater les cinq fameuses danseuses anglaises qui sont à la danse ce que Sinatra est à la chanson. Déjà, elles sont belles, très belles. Ensuite, elles sont douées, très douées pour offrir le Buddha Show, un spectacle incroyable, créé en quelques semaines spécialement pour le Buddha Bar, grâce au réseau de Mohamed Kaffazy. Ces «British Girly» vous entraîneront pour un voyage au pays des mille-et-une nuits avec la danse du ventre et du feu, dans le monde féerique du cirque - le grand écart à sept mètres du sol mérite le détour - ou dans le monde magique de Bollywood.

Aussi grandiose soit-il, ce spectacle n’est pas la seule nouveauté lancée par le Buddha Bar en cette fin d’année. Si un nouveau DJ, DJ No Mad, aux sonorités délicieuses et inspirées, est résident, le Buddha Bar fait l’événement chaque mois en accueillant un guest à l’image de DJ Ravin, Sam Popat, Camilo Franco ou DJ Mario. Du dimanche au jeudi, le Buddha Bar envoie, aussi,  du lourd. Sa politique tarifaire est très agressive en terrasse et au lounge avec un dégressif de 40% sur les prix de la carte. Ce ne sont  pas les soldes mais ça y ressemble.

Enfin, le nouveau bar à l’étage ne ressemblera à aucun lieu de la Ville Rouge. Il promet d’être unique avec une animation encore confidentielle. Inauguration programmée le 27 octobre pour la grande soirée des 1 an du Buddha Bar, beau bébé entre de bonnes mains....