Abdel Kader Aibout : La satisfaction de nos clients est le premier retour sur investissement du Palace Es Saadi
Août. 2015 \\ Par Jérôme Lamy

LE PALACE ES SAADI ET LEOP’S TECHNOLOGIE SE FELICITENT DE LEUR COLLABORATION.

C’est devenu une (bonne) habitude ! Le Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort est un exemple pour son goût accru de la modernité et son sens aigu de l’innovation. «C’est notre marque de fabrique» confirme Pauline Thomann, responsable marketing et communication. «Notre ambition, c’est d’offrir le meilleur à nos clients, d’être en permanence à leur écoute. Que ce soit avec le Théatro, le Casino ou l’Institut Dior, nous avons été des pionniers. C’est pour cela que les fournisseurs nous démarchent toujours en premier. »  
Alors, quand Benjamin Hicquel a frappé à la porte du Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort, il a bénéficié d’une oreille attentive. Et, dans quelques semaines, la piscine lagon (2400 m²) du Palace de l’Hivernage, sera exploitée avec de l’AFM® dans ses filtres. «Avant cet été, notre bassin principal sera filtré par l’AFM®» confirme Abdel Kader Aibout, directeur pôle support Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort. «C’est une évolution logique car Léop’s Technologie est notre fournisseur depuis deux ans. On a commencé par mettre de l’AFM® dans notre piscine chauffée et les petits bassins des villas, afin de réaliser une étude.»
Le résultat des analyses a fini par convaincre Abdel Kader Aibout. «La satisfaction des clients est le premier retour sur investissement du Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort»  avoue ce dernier, qui a fait ses classes au Club Méditerranée, au Village Kamarina, en Sicile. «C’est même notre priorité absolue. On a suivi l‘évolution en temps réel de 3 piscines durant 3 mois traitées par le même technicien avec l’AFM®, le sable et le verre pilé dans les filtres. Très vite, on s’est aperçu que l’AFM® nous permettait de gagner en qualité de l’eau et d’éviter la turbidité. Avoir une eau cristalline, c’est un plaisir visuel et c’est un service indispensable pour nos clients. L’AFM® est également présent dans la piscine du spa du Palace. On ira jusqu’à la fin de vie de nos filtres à sable mais l’idée c’est de basculer tous nos bassins sur l’AFM®.»
Au Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort, on affiche des ambitions et on se donne les moyens de les réaliser. «Il ne faut pas oublier que le rôle d’un Palace comme le nôtre, c’est de vendre du rêve à nos clients» confirme Abdel Kader Aibout qui affiche une authentique expérience dans le luxe.
C’est qu’il a occupé les plus hautes responsabilités à l’Hôtel Prince de Galles, à Paris, au ST Regis Bora Bora Resort, au Méridien Nouméa ou au Méridien, Ile des Pins, en Nouvelle-Calédonie. «Quand un papa porte un masque et met la tête sous l’eau pour jouer avec son enfant, on n’a pas envie qu’il découvre des particules en suspension qui pourraient donner l’impression que notre piscine est sale. Forcément, ça ferait moins rêver les parents. En utilisant l’AFM®, on marque notre différence.»
Et ce n’est pas la seule. Dire que l’utilisation de l’AFM® réduit l’empreinte écologique est un euphémisme qui n’a pas échappé aux décideurs du Palace Es Saadi, la famille Bauchet-Bouhlal, et à Abdel Kader Aibout, en particulier. «L’ économie réalisée sur la consommation de produits chimiques comme le chlore oscille entre 25 et 30%» dit Abdel Kader dont le savoir-faire et l’expertise sont particulièrement reconnus dans le monde de l’hôtellerie. «Le Palace Es Saadi - Es Saadi Gardens & Resort est bordé par un immense jardin. L’écologie et le développement durable sont l’âme de notre Resort.»
Abdel Kader Aibout se félicite d’avoir été un précurseur dans sa confiance donnée à Léop’s Technologie. «On consomme moins donc on achète moins» résume-t’il. «On est entièrement satisfait de notre collaboration avec Léop’s Technologie qui affiche aussi un sérieux extrême dans le Service Après Vente.»
Benjamin Hicquel a même dépêché, Howard Dryden, le père de l’AFM®, pour une mission gratuite de consulting au?Palace Es Saadi, lors de la conception de leur station de traitement d’eau. «Ce jour-là, Benjamin Hicquel a fait très fort» confie Abdel Kader.
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